Les chaussures minimalistes leguano rencontrent du succès auprès d’un public très varié, parmi lequel bien sûr les adeptes de running et course nature. Les leguano ont d’ailleurs été développées par un ultra-marathonien.
Dav, coureur minimaliste, partage son point de vue sur les leguano qu’il porte depuis le mois de septembre.
10 septembre 2016 : première sortie en minimalistes leguano
un premier petit retour sur les Leguano. Je finis ma première sortie à l’instant (19 km. 8,5 en descente, rythme footing – la deuxième partie en montée avec un peu plus de ryhtme).
J’ai mis des chaussettes «standards» pour la course à pied. Première impression, c’est plus souple que la V****m Spyridon. Le mesh parait beaucoup plus extensible et non renforcé (sans parties plus rigides). La semelle est moins enveloppante. Je conserverai donc les Leguano pour les parcours routiers et sentiers battus (j’ai pas envie de les déchirer dès la première sortie !) On se sent immédiatement à l’aise. Le pied trouve très simplement sa place et il n’y a pas de renfort de semelle pour rendre cela moins naturel (comme la serie Barefoot de M*rr*l par exemple). J’ai attaché très légèrement les lacets avec un laçage plus serré sur le haut du pieds. A 2 km de la fin j’ai commencé à ressentir un très léger échauffement sous l’avant du pieds : il faudra sans doute serrer un peu plus le bas du pied pour éviter cela (la souplesse du mesh devrait absorber le gonflement du pieds pendant la course). L’accroche est bluffante (terrain sec, quelques passages en terre tassée). La Spyridon fait tap-tap quand on court, la Leguano c’est swich-swich (ce qui est un poil plus pénible si on écoute pas de musique).
En virage serré, on trouve assez vite les limites : l’accroche de la semelle est excellente alors que la tenue de pieds est limitée en latéral (pas de renfort de mesh, laçage souple sur les chaussures de type barefoot).